Elle est ivre de vengeance.
Il lui voue une haine féroce.
Lacérée par la douleur qui régit sa vie depuis que sa meilleure amie a été assassinée sous ses yeux, Elyana n’a de cesse de chasser ses meurtriers. Devenue une machine à tuer, la jeune femme est prête à tous les sacrifices pour faire payer les monstres qui hantent ses nuits, un par un et jusqu’au dernier.
Après avoir suivi durant des mois la criminelle qui a plongé sa famille dans l’enfer du deuil, Bastian estime qu’il est temps d’assouvir sa soif de justice. Pourtant, les choses se compliquent lorsque Elyana White devient bien plus qu’une cible à abattre : elle est une obsession, son obsession. Cette évidence imprévisible oblige d’ailleurs l’Écossais à tout remettre en question.
Tout, y compris les vérités qui recèlent de sombres secrets.
Au cœur d’un danger inopiné, les deux âmes brisées s’attirent et se rejettent, puis se consument dans le cataclysme d’un désir dévastateur, prémices d’un sentiment qui se pourrait salvateur.
Si le chemin de l’amour est pavé de sang, c’est que le carmin est l’étendard de la rédemption.
Sandrine Goret –
Deux Ames brisées qui se cherchent, se détestent suite à un quiproquo…ou quand la tueuse devient la proie….
Elyana est devenue la vengeresse de sa meilleure. C’est son obsession et elle y employe toute son énergie, mais ses plans sont contrecarrés pas Bastian qui lui est aussi animé par la vengeance. Mais lui sa vengeance s’est elle !!!!!
J’ai débuté ma lecture sans me souvenir du résumé. Je savais juste que je partais à la découverte d’une nouvelle auteure. Et vous savez comme quoi j’aime découvrir de nouvelle plume. Je n’ai pas été déçu, une bonne dark soft sur fond de traque.
Attention cela reste une Dark!!!!!
La plume est agréable, bien construite. L’histoire nous happe dès le premier chapitre. On a envie dans sans avoir car l’auteur ne relâche pas la pression et plus on avance plus on a envie dans savoir plus.
Les héros sont des êtres abimés, torturés. Bien décrit par l’auteur, on ne peut que les aimer ou les detester. Pas de juste milieu, enfin pour moi. Un peu comme notre chaton …
Les retours dans le passé sont fréquents mais en aucun n’alourdissent l’histoire, au contraire ils permettent une meilleure compréhension. Faut dire que c’est le bordel dans la tête de nos héros.
Bastian et Elyana sont le type parait de je t’aime, moi non plus. Ils nous prouvent qu’entre la haine et l’amour la frontière est mince.
En tout cas un premier roman qui ne laisse pas indifferent… la lecture est sombre, addictive et cruelle aussi. Je recommande